Lundi 14 avril 2014 à 22:06

Juste quelque lignes pour éviter la démolition du bâtiment, bien que je doute qu'il resserve.
J'en ai profité pour condamner certaines pièces qui rétrospectivement ne sont pas faites pour l'ouverture au public.
Bon, celles qui restent ne reluisent pas vraiment non plus mais elles vont persister encore un peu, pour mémoire.

à la revoyure !

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Lundi 17 janvier 2011 à 11:18

... I just hate them all.

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Mercredi 8 septembre 2010 à 9:24

***BOUM!***


*L'auteur assume l'entière responsabilité de la nullité crasse de cet article, posté uniquement pour vous assurer qu'il est encore en vie. Peut-être se fera-t-il pardonner en publiant prochainement un texte ressemblant vaguement à quelque chose. Ou peut-être pas. xD

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Mercredi 23 juin 2010 à 17:10

Cela fait bien longtemps que la rédaction de ce petit article me démange. Bon, vu l’audience que j’ai, il y a de grandes chances pour que ça ne mène à rien, mais sait-on jamais… 

Qu’est-ce qui motive l’écriture de ce texte ?

Je vous invite à recenser dans votre entourage le nombre de mécontents, et à leur poser une question toute bête : pourquoi est-ce que vous ne faites rien pour changer ce qui ne vous plaît pas ?

Vous pourrez très vite constater que la plupart des gens sont d’accord pour que les choses changent en mieux, bien évidemment, mais à condition que quelqu’un d’autre s’occupe de faire le changement, et qu’on puisse le blâmer copieusement si ça foire.

Tournez-vous maintenant vers ceux qui se donnent haut et fort le titre de « militant » (vous en connaissez forcément), quelque soit la cause qu’ils défendent, et faites le tour de leurs moyens d’action communs :

- Cesser le travail
- Défiler
- Distribuer des tracts
- Casser une ou deux bricoles
- Bloquer un train/une route/une entreprise...
- S'enchaîner à une grille
- Se colleter avec les CRS

Et ça va rarement pisser beaucoup plus loin que ça. Nan mais sérieusement, des millénaires « d’évolution », de progrès scientifique, de philosophie, de démographie galopante, des millions de bouquins écrits, des milliards d’individus censément dotés d’un cerveau, à l’ère de l’informatique et de l’échange quasi instantané d’informations, et personne n’est capable de trouver des moyens plus futés pour faire pression sur un groupe d’imbéciles ? (a.k.a  « gouvernement »).

Personnellement, ce que j’en pense, c’est que vous tous, pseudos-militants, n’êtes qu’une bande de foutus hypocrites. Ou alors vous avez payé votre carte de membre de parti/association en sacrifiant vos neurones dans l’opération.

Oui, je suis irrespectueux, provoquant et grossier, j’assume.

Sérieusement, vous pensez que la majorité des gens lit vos tracts ? Que cesser le travail quelques jours vous attire la sympathie de vos compatriotes ou vous met en position de force face à des gens qui brassent plus d’argent chaque année que vous en plusieurs vies ? Que perdre votre temps à défiler dans la rue vous donne une crédibilité ? Grève des transports, opérations escargots… oui, ça enquiquine le monde sur le moment, mais les gens s’adaptent.

Je ne remets pas en cause votre bonne volonté, votre motivation ou votre idéalisme, il en faut. Mais peut-être serait-il temps de réaliser (après quelques décennies…) que quand on fait un maximum d’efforts pour un résultat minimal (pour ne pas dire nul), quelque chose cloche. 

Aaaaah, je vous vois venir ! « des critiques, des critiques… quid des propositions sale aigri ? T’en as toi de l’imagination ?» 

Et bien sans aller jusqu’à fournir des moyens d’actions prêts- à- l’emploi, je vais tout de même tenter de vous fournir quelques pistes de réflexion simples, j’ose même dire évidentes, qui se résument en trois points :

- Pour interpeler, il faut surprendre
- Un acte peut paraître insignifiant s'il est isolé, mais à grande échelle...
- Mieux vaut frapper une fois là où ça fait mal que cinquante fois dans le vide

Voilà, c’est tout. Vraiment. Gardez juste ça en tête, et le monde est à vous. Ce n’est pas une blague.

« Si c’était aussi simple, on aurait déjà fait la révolution ! »

Non. Parce que vous ne voulez pas vraiment faire de révolution. Ou vous ne voulez pas que ce soit aussi simple, ça vous obligerait à reconnaître que vous passez votre temps à pisser dans un violon pour vous donner bonne conscience.  

« Ah ouais ? Ben vas-y toi qui est si malin, donne-nous des vrais exemples de ce qu’on pourrait faire pour changer les choses ! Des trucs plus efficaces que ce que l’on fait d’habitude !» 

Bon, bon, d’accord, après tout, c’est moi qui ai lancé le sujet.  

Illustration basique des points 1 et 2 !

Prenez une brique, ou un pavé. Qu’en feriez-vous ? ...

« Le lancer » est une mauvaise réponse. « Le poser » en est une meilleure.  

« Tu te fiches de nous !? ??» 

Non. On peut très bien faire une révolution en posant simplement des briques. Le tout c’est de savoir où et combien. Prenons une manifestation type, de mettons… 30 000 personnes (ouais, c’est déjà plutôt pas mal). Ces 30 000 personnes ont chacune pris un après-midi entier, perdu le salaire qui va avec, pour défiler dans la rue et avoir un impact sur les mémoires proche du néant.

Maintenant, admettons qu’au lieu de ça, ces mêmes 30 000 personnes ne prennent chacune qu’une demi-heure de leur temps, pour se rendre au même endroit et y déposer, disons l’équivalent d’un ou deux kilos de briques (ou n’importe quoi d’autre, c’est pour l’exemple). Cela nous fait 30 à 60 tonnes de briques en un point donné… Répétable à l’infini…

Et pourquoi se limiter à 30 000 personnes ?...

Cela ne vous donne pas des idées ? 

 Encore plus drôle, imaginons, pour la beauté du geste, que tout les mécontents de France et de Navarre envoient un colis de quelques kilos, en express, mettons, à l’Elysée… 

Alors, combien de temps pour songer à un truc aussi bête ? 5 minutes sans se fouler. Difficulté de réalisation ? Néant. Efficacité ? J’ose espérer que cela puisse être plus efficace que de défiler sous la flotte un après-midi avec des drapeaux et des banderoles.  

Il y a tout un monde de solutions possibles, bien plus sophistiquées que ça (souvenez-vous, sciences, techniques, progrès, tout ça…) juste sous votre nez.  

Alors maintenant, à votre tour. Gardez à l’esprit les trois points, tout bêtes, qui sont la clef du succès. Et laissez parler votre imagination. Il ne vous reste plus qu’à agir… mais en avez-vous réellement le désir ? Là est la vraie question en fait.

 

dans la catégorie Réflexion

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Mardi 30 mars 2010 à 13:06

Je suis un fumeur invétéré. Je sais, c'est une très mauvaise habitude, dont j'aimerais me défaire, mais toutes mes tentatives se sont jusque là soldées par des échecs... En attendant la prochaine ^^'
Mais bref. Comme vous le savez, à l'heure actuelle en France le "droit de fumer" est soumis à des taxes (importantes), ainsi qu'à une règlementation (interdiction de fumer dans les lieux publics).
Je n'ai pas le moins du monde l'intention de contester le bien-fondé de cette règlementation, bien au contraire, je m'étonne que de telles mesures n'aient pas été appliquées plus tôt. Nous n'avons pas à imposer les conséquences de nos vices à ceux qui ne les partagent pas.
Cette introduction n'a apparemment pas grand chose à voir avec le titre, mais ne vous inquiétez pas, ça va venir ;p

A 24 ans, je ne dispose pas du permis de conduire. Cela ne va pas sans inconvénients au niveau de la mobilité. Mais à dire vrai, je n'ai pas la moindre intention de le passer tant que ce ne sera absolument indispensable. Je suis un piéton, parfois un cycliste, parfois un usager des transports en commun, et cela me convient parfaitement. La marche a toujours été mon mode de déplacement de prédilection, à la fois par goût et par conviction. Dans le contexte actuel, qui fait la part belle à l'écologie et l'éco-citoyenneté, ainsi qu'à la nécessité d'exercer une activité physique régulière, se passer de véhicule personnel apparaît comme une évidence. Après tout, la voiture est un luxe (pas dans tous les cas bien sûr), allant de pair avec le fort impact environnemental qu'on lui connaît (pas uniquement la pollution atmosphérique, il faut aussi prendre en compte les aménagements qui vont avec).

Voilà où mon introduction prend son sens: si en tant que fumeur, je suis soumis à des règles qui relèvent à la fois de la courtoisie élémentaire et de la santé publique, qu'en est-il des automobiles? En tant que marcheur, j'estime avoir vis à vis des véhicule motorisés les mêmes droits que le non-fumeurs vis-à-vis des fumeurs.
Pourtant, on s'obstine à rétrécir les trottoirs, à transformer les chemins en routes, de plus en plus grande et "sécurisée" pour accroître les vitesses autorisées...
A l'heure actuelle, il m'est impossible, à moins de couper à travers champs ou de suivre des chemins de "promenade" (un comble, alors que la marche est le mode naturel de déplacement de l'Homme, on parque les marcheurs dans des "réserves" s'il veulent exercer tranquillement leur activité...), impossible, disais-je, de marcher 1h sans être croisé par des dizaines, des centaines parfois, de véhicules motorisés et polluants, qui m'éclaboussent s'il pleut, qui m'emplissent les poumons de leurs saletés de gaz d'échappement, qui font un potin du diable, qui me frôlent parfois, m'obligeant à maintenir une vigilance de tous les instants.
Si je ne me déplace pas en ville, je suis cantonné à une bande de terre, parfois boueuse, qui est souvent tout juste assez large pour que je ne déborde pas sur la chaussée...
La logique de la chose m'échappe.
Pour agir "éco-citoyennement", et selon mes goûts, je suis obligé de mettre ma santé, et même parfois ma vie en jeu (parce que bon, sur le nombre de conducteurs, combien y en a-t-il au-dessus de la limite de vitesse, sous substances, ou tout simplement distraits? Il suffit d'une fraction de seconde pour qu'un piéton soit fauché...)

Y en a marre!!

Hop, c'était le mini coup de gueule du jour, à  vous les studios ^^


dans la catégorie Réflexion

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